Kahi Paccaro et la porte d'entrée de l'industrie cinématographique hawaïenne

Kahi et ses amis rallient la communauté pour garder les côtes propres.

Il y a vingt ans, Kahi Pacarro s'est installé sur son terrain à Kailua, à Hawaï, avec quelques amis de Nouvelle-Zélande. Ses amis, membres d'une organisation environnementale à but non lucratif, Sustainable Coastlines New Zealand, lui font comprendre qu'il doit s'occuper de cette zone de manière très positive. Kahi a vu un énorme confetti de microfibres constitué de débris de plastique qui, dans la mer, se sont mélangés à la terre et l'ont touchée. Il y avait de tout, sur et autour de la plage. Kahi a constaté que les déchets dans la mer se trouvent principalement au large des plus grandes îles hawaïennes : ce sont des déchets de plastique gigantesques qui s'accumulent dans les océans du monde entier et qui s'accumulent dans les vents de la mer Noordooste.

Kahi, un fervent surfeur et un pêcheur à la ligne, a beaucoup de choses à faire. Il a fait appel à Sustainable Coastlines Hawai'i pour rencontrer trois bons amis afin de les aider à se débarrasser de la mer, à lutter contre la pollution par les plastiques et, surtout, à contribuer à la protection de l'océan et des rivages contre les risques de pollution. En conséquence, Sustainable Coastlines Hawai'i a mis en place de nombreuses actions de sensibilisation sur les plages et des événements éducatifs, a amélioré l'efficacité des actions menées sur les sites et a mis en place un meilleur consensus afin d'éliminer la consommation de plastique. Depuis 2011, Kahi recycle plus de 200 000 kilogrammes de plastique océanique et demande à tout le monde d'être attentif à la prochaine fois qu'il s'agira d'améliorer la qualité de l'eau et d'éliminer les "confettis". En tant que directeur général de l'organisation de quartier Parley Hawai'i, Kahi a fait de son rêve d'un pon pon pon vers un niveau d'implication encore plus élevé.

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Kahi, explique-nous comment un objectif de solidarité pour les enfants des pays en voie de développement a été atteint.
Kahi : Toen je opgroeide op Hawaï, kun je deze plek vaak als vanzelfsprekend beschouwen. Pas toen ik echt begon te reizen, besefte ik hoeveel geluk we hier hebben. De même, j'ai hâte que les hommes se déplacent et que le monde s'ouvre à eux, non seulement pour savoir à quel point nous sommes forts ici, mais aussi pour savoir à quel point d'autres hommes pour leur travail sont si spéciaux, afin que nous puissions avoir un avenir à nous-mêmes. Je me suis rendu une fois de plus à Hawaï et j'ai cherché à savoir ce qu'il en était de ma situation personnelle : comment je pouvais faire mieux pour ma maison.

J'avais plus de 30 ans et je me trouvais à Kailua Beach avec mes amis de Nouvelle-Zélande, près du golf où j'avais l'occasion de faire du surf, et ils m'ont dit que je n'avais pas réalisé qu'il y avait un problème de plastique à Hawaï. C'est à ce moment-là que je me suis rendu compte que c'était mon problème. C'est ce que je dois faire pour que les hommes se rendent compte de notre surconsommation qui a entraîné la disparition du plastique dans nos océans et son apparition dans les paradis de nos propres rivages.

En quoi le programme "Sustainable Coastlines Hawai'i" est-il intéressant ?
Oui, je me demande pourquoi nous n'avons pas commencé avec Sustainable Coastlines Hawai'i, en nous basant sur le modèle que mes amis de Nouvelle-Zélande ont créé. Il s'agissait là d'un problème de taille. Mais sur mon propre terrain, je n'ai rien pu faire.

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Quel est le problème de la plastification ?
Si vous voulez en savoir plus sur le problème de l'élimination des plastiques, vous devez vous poser des questions. Qu'il s'agisse d'une plage à Hawaï ou d'un terrain en Arizona, le problème ne se pose pas pour tout le monde. Deux des trois éponges à vapeur que nous utilisons sortent de la mer, et ces plastiques dans la mer sont à l'origine de l'élimination de nos déchets. Lorsque ces plastiques sont altérés, ils ont une durée de vie plus courte. Nous devons donc nous rendre compte que si nos écosystèmes deviennent instables en raison d'une trop grande quantité de plastique dans nos océans, cela risque de nuire à l'ensemble de la population.

De quelle manière pouvons-nous commencer à améliorer la situation ?
L'une des meilleures choses que vous puissiez faire, c'est d'inventer le plastique de votre vie et de commencer à vous rendre compte que l'essentiel est là. La deuxième chose que vous pouvez faire, c'est de vous pencher sur les choses pour lesquelles vous utilisez du plastique et de chercher à savoir comment vous pouvez vous en servir. Pour moi, cela se traduit par une différence entre ce que nous voulons et ce que nous voulons faire. Naturellement, il s'agit d'une offre qui se concrétise, mais c'est aussi ce qui se passe aujourd'hui. Je laisse un peu d'huile sur le feu. Je plante un tuin. Je mange dans mon propre tuin. Je dessine une seule pièce de monnaie. Je m'en vais. Ce n'est pas aussi facile que je le pense, mais je dois être convaincu que la première offre est la bonne.

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